Carolina Gunderode
Incorect Politic
Aprilie 15, 2023
Il y a 80 ans : et le monde découvrit Katyn…
LE 13 AVRIL 1943,
la radio allemande annonçait la découverte d’un charnier d’officiers po- lonais dans la forêt attenant au petit village de Katyn, en Biélorussie, à 20 kilomètres de Smolensk. Les relations
entre le Reich et la Pologne occupée n’étant pas des plus cordiales pour les raisons expliquées dans mon article de RIVAROL du 29 mars (1), Berlin voyait là une oppor- tunité de ternir les relations entre la résistance polonaise et les alliés et dépêcha les 16 et 17 avril 1943 une commis- sion d’enquête internationale composées de douze méde- cins : un Allemand, un Fran- çais, un Danois, un Belge, un Néerlandais, un Italien, un Finlandais, un Hongrois, un Roumain, un Bulgare, un Suédois et un Suisse (2), ainsi qu’un prisonnier américain, le lieutenant-colonel John Huff Van Vliet Jr, qui en conclut que le massacre avait été commis par les Soviétiques (en l’occurrence la 1re division du NKVD). Le 9 juillet 1943, dans Je suis partout, Robert Brasillach publia un article retentissant : « J’ai vu les fosses de Katyn ». D’après sa biographe Anne Brassié, il le paiera de sa vie, tout comme Paul Chack. Massacres qui à Bromberg ont été supervisés par le chef de la police, Isidore Berger.
QUI A TUÉ LES
OFFICIERS POLONAIS ?
Si la responsabilité de l’assassinat des offi- ciers polonais émane évidemment du Kremlin, le document ordonnant leur mise à mort portant les signatures de Staline, Beria, Kaganovitch, Molotov, Kalinine, Vorochilov et Mikoyan, sur le terrain le nom qui revient est celui de Vassili Mikhailovitch Blokhine, protégé de Staline et liquidé peu après sa mort (“infarctus”), spécia- liste en élimination des apparatchiks déchus à la Loubianka (3) , qui supervisa personnellement l’assassinat des Polonais, d’abord à Tver, où il exécuta personnellement 250 prisonniers du camp d’Ostachkov (en 20 ans de carrière, il as- sassina personnellement 200.000 personnes), puis à Katyn. Sur place, si on en croit le jour- nal israélien Maariv (4), ce sont des officiers juifs, le major Joshua Sokorin et les lieutenants Alexandre Souslov et Samyun Tichonov, qui ont exécuté les meurtres. Selon le témoignage de Sokorin, « on raconta aux Polonais du camp de Kozielsk qu’en tant que libres citoyens ils retourneraient chez eux. La nuit précédant leur embarquement dans les trains, on leur permit de faire la fête. Les accolades et les embras- sades “Au revoir ! A Varsovie” s’échangeaient dans l’allégresse. La liesse et la joie furent de courte durée et s’éteignirent très vite dès qu’ils s’aperçurent que les trains n’allaient pas vers l’Ouest mais vers l’Est et qu’ils étaient gardés par des doubles rangées de sentinelles.
Quand le train arriva à la gare de Gniezdowo, près de la forêt de Katyn, l’épouvante commença à submerger les prisonniers. Quand le déchar- gement du train débuta, les bagages furent em- barqués dans des camions, quant aux prison- niers ils furent enfermés dans des remorques lourdement grillagées. De là, on les conduisit dans des baraques de bûcherons. C’est par trois qu’on les y emmenait. Là, on les dépouil- la de leurs dernières possessions — bagues, montres, etc. Après quoi, on emmena chaque prisonnier jusqu’au bord d’une immense fosse et là ils apercevaient l’horreur des horreurs : au fond de ces fosses gisaient les corps de leurs camarades partis dans un train précé- dant. Les corps étaient rangés les uns sur les autres comme des sardines face contre terre.
Un groupe de juifs [intégristes, ndlr] patau- geant dans une mare de sang les rangeait en ordre et attendait les nouveaux cadavres tom- bant dans l’abîme et qu’il devrait empiler sur les autres corps afin de faire de la place pour en entasser de plus en plus. La hauteur de la fosse était prévue pour 12 couches de cadavres. Certains prisonniers refusaient qu’on leur attachât les mains derrière le dos. Les exé- cuteurs leurs jetaient alors un manteau sur la tête et les attachaient les mains devant. Pour d’autres prisonniers on leur bourra la bouche avec de la sciure, le NKVD considérant cela comme un vrai moyen de les calmer. Ils crai- gnaient que leurs cris n’alertassent ceux qui attendaient leur tour dans les fourgons. Beau- coup furent tués d’une balle dans la nuque ou dans l’arrière du crâne. D’autres de plusieurs balles ou transpercés par des coups de baïon- nettes dans le dos ou la poitrine — ce qui ré- vèle que les prisonniers résistaient ». 4253 pri- sonniers furent ensevelis à Katyn, pour un total de 21 857 Polonais massacrés.
Un massacre similaire eut lieu dans la forêt de Trzebusc près de Rzeszow, entre août et novembre 1944, lorsque la police secrète so- viétique a égorgé 600 Polonais (intellectuels, officiers de l’Armia Krajowa(5) — dirigeants d’organisation et prêtres), leurs tombes furent découvertes en 1980 mais le gouvernement communiste de la République populaire de Po- logne a étouffé l’information concernant ce se- cond Katyn. Notons également que, informés des rumeurs d’une proche découverte, les So- viétiques évoquèrent le massacre d’une centaine de civils à Khatyn, en Biélorussie, le 22 mars 1943, vraisemblablement une opération sous faux drapeau des Istrebitels selon l’ordre du jour n°0428 de Staline du 17 novembre 1941 (6).
Les Alliés étaient parfaitement au courant. Dès sa libération et son retour aux Etats-Unis, van Vliet se dépêcha d’informer ses supé- rieurs. Voici ce qu’il en advint : « Le 22 mai 1945, immédiatement à son arrivée à Washington D.C., après la fin de sa captivité, Van Vliet a remis un rapport au général Clayton Bissell indiquant ce qu’il avait trouvé. Bissell classa le rapport Top Secret afin de restreindre sa circulation, et plus tard le rapport disparut des archives.
Quoique Bissell ait prétendu qu’il avait envoyé le rapport au Département d’Etat, ce dernier dit ne l’avoir jamais reçu, et l’armée n’avait pas de reçu à montrer selon lequel il l’avait eu. Appelé à rendre compte de ses activités devant une commission du Congrès enquêtant sur Katyn en février 1952, Bissell a prétendu qu’il ne faisait que mettre en œuvre l’esprit de la Conférence de Yalta. ». Roosevelt donna l’ordre de faire assassiner le chef de la Résis- tance polonaise, le général Wladyslaw Sikors- ki, lors d’un « accident d’avion » à Gibraltar le 4 juillet 1943. Voilà comment les Polonais furent récompensés par les “démocrassies” de leur zèle à déclencher une guerre mondiale pour leur compte. Les Ukrainiens seraient bien avisés de méditer cela…
UNE NÉBULEUSE
NÉGATIONNISTE
Il y a encore dans le vaste monde des gens qui nient l’évidence. Qui croient que Dieu n’existe pas, qu’on écrivait au stylo-bille dans les années 1940, que Greta Thünberg écrit ses textes, que Borisio Ferrara est un footbal- leur professionnel (7) … Il y a donc des gens qui en 2023 soutiennent encore l’“infox” de « Katyn, crime allemand », en toute impuni- té, cela va sans dire. Deux pseudo-historiens, l’israélite Annie Lacroix-Riz (8) et l’Américain Grover Carr Furr III — tous deux publiés par les éditions Delga (9) — accusent ainsi les Al- lemands de ce crime. Lacroix-Riz, membre du PRCF — groupuscule stalinien ayant ap- pelé à voter Mélenchon à la présidentielle de 2017 dont le comité de soutien fut présidé par le traître Henry Alleg (10) — bénéficie de protections et de soutiens, qui lui ont per- mis d’enseigner à Paris-VII, d’écrire dans Le Monde Diplomatique (11) ou d’être reçue en loge maçonnique (12) . Furr — qui enseigne à l’université de Montclair aux Etats-Unis — a consacré à ce drame une étude « L’énigme du massacre de Katyn », avec l’unique argument des assassins de la mémoire : les balles étaient allemandes. Ce fait est connu, il s’agissait des balles qui étaient dans les arsenaux de l’armée estonienne saisies par les Soviétiques quand ces derniers ont envahi les pays Baltes. Et de rajouter, sans la moindre sanction : « Les So- viétiques, contrairement aux nazis, n’ont ja- mais, nulle part, exécuté d’enfants ». Et quant aux balles allemandes trouvées dans un autre charnier de Polonais à Volodymyr, datant, paraît-il, de 1941 (13) , elles ont été acquises à la suite des ventes d’armes du Reich à l’URSS qui ont continué après l’accord du 11 février 1940 qui complétait le Pacte germano-soviétique, lorsque Moscou approvisionnait Berlin en matières premières (nickel, manganèse, fer, 900.000 tonnes de pétrole, 1 million de tonnes de céréales) contre des armes, du trans- fert de technologie (14) et même la coque du croiseur lourd Lützow jamais terminé (15) . Il ne faut pas croire que cette prose immonde reste confinée chez les zélotes de la secte rouge. La propagande stalinienne des éditions Delga est vendue à la FNAC, sans que cela ne suscite la moindre opposition des Sleeping Giants qui préfèrent s’acharner sur RIVAROL et autres vecteurs de réinformation, ni bien sûr de Libération qui se focalise sur la vente du livre de l’inverti Renaud Camus consacré au « Grand Remplacement ». Le livre de Furr est par exemple vendu par l’importante librairie Filigranes à Bruxelles, fournisseur de la Cour Royale…
Rappelons, pour clore le débat, que la Rus- sie a reconnu la responsabilité du massacre par vote de la Douma le 26 novembre 2010, mais que — contrairement à ce que l’histoire officielle raconte —, le crime de Katyn a bien été attribué aux Allemands par le procès de Nuremberg. A la suite de la parodie de pro- cès de Léningrad de décembre 1945, ont été pendus le 5 janvier 1946 pour leur soi-disant implication pour Katyn les officiers et soldats allemands suivants : Ernst Böhm, Ernst Ge- herer, Herbert Janike, Heinrich Remmlinger, Erwin Shoti, Edward Sonnenfeld, Karl-Her- mann Strüffing. Arno Diere, Erich-Paul Vo- gel et Franz Wiese furent condamnés à 20 ans de Goulag. On attend toujours leur réha- bilitation officielle. Le dossier soviétique est inclus dans le fameux document 054-URSS présenté à Nuremberg. Les deux personna- lités soviétiques qui ont réalisé la prétendue « contre-enquête » de 1944 ne sont pas des inconnus : le métropolite Nikolaï, figure de proue de la collaboration religieuse avec Sta- line, et le père de la neurochirurgie soviétique, Nikolaï Nilovitch Burdenko. Hasard, on re- trouve ces deux hommes comme signataire du document 008-URSS avec deux autres personnages, le pseudo-scientifique Trofim Denissovitch Lyssenko (16) et le juriste Mo- she Aron Nahimovich Trainin, celui-là même qui constitue le socle de l’argumentaire des Alliés quant au complexe concentrationnaire d’Auschwitz.
Comme le déclarait Denis Sefton Delmer, l’une des plumes vedettes du Daily Express et responsable de la « propagande noire » an- glaise : « Nous avons gagné la guerre grâce à la propagande sur les atrocités… Et nous commençons seulement maintenant ! Nous continuerons cette propagande de l’atroce, nous la monterons en puissance jusqu’à ce que plus personne n’accepte, ne serait-ce qu’un mot gentil des Allemands, jusqu’à ce que le capital de sympathie qu’ils pouvaient encore avoir soit totalement détruit et qu’ils soient eux-mêmes si perturbés qu’ils ne sachent plus longtemps ce qu’ils font. Une fois cela terminé, dès qu’ils commenceront à dénigrer leur propre pays et leur propre peuple, non pas avec répugnance, mais avec un ardent désir de plaire aux vainqueurs, alors seule- ment notre victoire sera complète. Il n’y aura jamais de fin. La rééducation nécessite d’être orientée avec précaution, comme une pelouse anglaise. Un seul instant d’inattention et la mauvaise herbe poussera encore — cette mauvaise herbe appelée vérité historique ».
Le 10 avril 2010, alors qu’il se prépare à at- terrir à Smolensk, un Tu-154 de l’armée de l’air polonaise s’écrase avec à son bord, le président de la République, Lech Kaczynski, son épouse, le chef d’état-major des armées ainsi que les chefs d’état-major des armées de terre, de l’air, de la marine et des forces spéciales, le gouverneur de la Banque cen- trale, des parlementaires, des membres des familles des victimes de Katyn, 89 passagers, 7 membres d’équipage, aucun survivant. Ka- tyn aura une seconde fois décapité la nation polonaise.
Henri de FERSAN
D.R.
Massacres qui à Bromberg ont été supervisés par le chef de la police, Isidore Berger.
1. Et pour répondre à un chefaillon de groupuscule à prétentions universitaires qui est au débat intellectuel ce que le CS Blénod est au football français, mettant en doute la validité de mes arguments, la liste des victimes des massacres en Posnanie a fait l’objet d’un rapport judiciaire détaillé et a été authentifiée par l’historien antifasciste allemand Theodor Bierschenk.2. Comment ne pas penser à l’équipage de l’Aurore dans l’Etoile Mystérieuse datant de 1942 ?
3. Dont le geôlier en chef, Isai Davidovich Berg, inventa en 1938 un système pour assassiner lors des transports en car les détenus avec du gaz d’échappement.
4. 22 juillet 1971.
5. Armée Nationale non communiste de résistance au national-socialisme.
6. Ordonnant de commettre des massacres de civils en portant des uniformes allemands.
7. La presse spécialisée (y compris France Football) avait publié en 2006 l’annonce de la signature à l’AS Saint-Etienne du milieu défensif et international espoir italien Borisio Ferrara, information publiée sans la moindre vérification, le joueur étant en fait un canular. Cela en dit long sur la presse, et d’autant plus que Ferrara était présenté comme communiste sans que cela ne suscite le moindre commentaire, le “personnage ” étant calqué sur l’attaquant Cristiano Lucarelli (même club de Livourne, tee-shirt à l’effigie du criminel raciste Ernesto “Che” Guevara sous le maillot). On est en droit de préférer Paulo di Canio voire Gianluigi Buffon…
8. Ses origines expliquant sa haine rabi(ni)que contre les Polonais, les Ukrainiens et les Baltes. On verra, maintenant que l’Holodomor a été reconnu comme génocide, s’il sera concerné par la loi Gayssot, mais la probabilité est inférieure à un retour du FC Istres en Ligue 1…
9. Ce nom vient de la rue où habitait l’un des trois fondateurs, Michel Clouscard (les deux autres étant Edmond Janssen et Aymeric Monville), dans le Tarn.
10. Qui prétendit avoir été torturé par l’armée, diffamant le colonel (alors capitaine) Philippe Erulin. Comme pour sa coreligionnaire brésilienne Dilma Vana Rousseff, la torture se limita à une simple paire de claques. La torture, la vraie, c’est ce qu’ont enduré entre les mains de la Guépéou gaulliste Camille Petitjean, Paul Sintès, Angèle Léoni (morts) ou Geneviève Salasc, Sauveur Costagliola, Jacques Gosselin (rescapés), dans l’indifférence totale de la LDH…
11. Par exemple Du nouveau sur un certain Staline, février 2008.
12. Le 18 mars 2011, elle fut reçue par la GLMU.
13. Bizarrement, Furr et sa clique (et bien d’autres) ne font aucun commentaire sur la présence de douilles de pistolets-mitrailleurs britanniques Sten dans les ruines de l’église d’Oradour.
14. Les plans du cuirassé Bismarck, une machinerie complète pour un destroyer, des canons lourds, des plans d’appareils Bf 109 et 110 et Ju 88, des équipements électriques, des locomotives, des turbines, des machines- outils et des exemplaires d’artillerie, de chars et d’explosifs allemands.
15. Devenu le Petropavlovsk, il fut renommé Tallinn en 1943 quand le cuirassé Marat reprit son ancien nom.
16. Qui, avec son comparse Izaak Israilevich Present, détruisit l’agronomie soviétique.
Hristos a inviat! Avem o mica problema la copy/pasta traducerii 🙂
Vassili Mikhailovitch Blokhine
-ori ale legatura cu vica blochina
ori cu “block-chaim” ca in bit-coine.
Lech Kaczynski cu sotia sa Maria, împreuna cu cei 100 însotitori, au fost asasinati la ordinele criminalului V.Putin. “Accidentul” aviatic a fost pus la cale de Oculta si executat prin mâna ticalosului de la Kremlin.
Vesnica Pomenire acestor eroi ai Neamului Polonez !
Acest articol era insotit de specificarea locului unde a aparut el, precum si de explicatia mea – suprimata dece de catre editor ????????? – pentru care este atat de importantacest articol:
s-a descoperit ca gloantele nemtesti si hainele nemtesti folosite de stalinistii care au savarsit de fapt masacrul, asupra ofiterilor polonezi erau furate de pe nemtii morti ca lumea sa creada ca nemtii au ucis polonezii in locul adevaratilor faptasi, trupelor luib Stalin .
Randurile mele :
“Scuze pentru situatie dar romanii trebuie sa afle farsa macabra facuta de stalinisti, nemtilor : au imbracat criminalii in hainele nemtilor si au folosit gloante nemtesti (luate de pe alte fronturi cu nemti invinsi) pentru a disimula autorii adevarati ai masacrului im-
potriva ofiterilor polonezi , masacru executat de criminalii lui Stalin .
Iar taraturile americane au ascuns rapoartele ofiterilor cinstiti care raportau adevarul despre adevaratii criminali si complicii lor .
CITITI DOCUMENTATIA ZEISS!!! ADEVARATA !!!
INCONTURNABILA , MAI ALES ASTAZI SPRE A PRICEPE ADEVARUL DESPRE RAZBOIUL DIN UCRAINA !!!
Sterie maica,
daca publici aceasta minunatie de articol in franceza,
publica versiunea aceasta pe care am departajat-o inserand intervale bagate intre notele bibliografice si textul articolului(versiunea franceza inghesuie totul deoarece Rivarolul nu are bani iar directorul publicatiei, Jerome Bourbon , pe langa proces in curs cu condamnare la inchisoare, mai are vreo 6 in curs , cu estropiatii istoriei impusa de satrapia in descompunere).
Extras din ultimul Rivarol !
Rivarol nr. 3561, 12 avril 2023.
Il y a 80 ans : et le monde découvrit Katyn…”
-ciudat ca la “katyin” nu s-a pomenit de “fenomenul antisemit”…..